Histoire
Dans le 4e quart du 17e siècle, le besoin de reconstruire un hôpital se fait sentir. Claude Cachet de Montézan, conseiller au parlement, assure la direction des travaux, voire le financement. Dès 1684, plusieurs maîtres maçons et charpentiers y travaillent ainsi qu'un tailleur de pierre : une partie des pierres utilisée est celles des 7 maisons démolies pour l'installation de l'édifice. Par lettre patente du 14 août 1685, Anne-Marie Louise d'Orléans, fonde officiellement l'édifice. L'hôpital, construit sur la muraille ouest et sud de la ville, englobe aussi une tour de fortification : il se compose de 4 corps de bâtiments autour d'une cour fermée, d'un jardin avec bûcher et cimetière. En 1688, il est dirigé par la congrégation des filles de la Charité. 1764 : construction d'une aile au nord avec : laboratoire, école, salle neuve. 1768 : construction du bâtiment des domestiques. 1782 : prolongement de l'aile nord. 1840 : travaux par Boucharlat : maison Lolière affectée aux vieillards. 1859 : travaux dans la pharmacie, par Faugeron. 1907 : construction des bâtiments (B et C) sur l'ancien cimetière, transformation de la maternité, remaniement du porche d'entrée avec salle d'opération au-dessus, installation du dôme sur la tour, modification des façades par la création d'un niveau intermédiaire, grilles monumentales du côté du quai, par Ferret. 1979 : transformation complète des dortoirs en chambres de 1 à 4 lits par Rollet
En 1842, le conseil municipal de Trévoux reconnaît d'utilité publique l'établissement d'un pont suspendu sur la Saône, et prévoit un droit de péage pour son passage. Une souscription, lancée auprès des habitants, et une subvention de l'Etat financent en partie la construction qui s'effectue en 1850, la 1ère pierre étant posée par le général de Castellane. Après une mise à l'épreuve de l'ouvrage en février 1851, le pont est inauguré le 18 mai. En tête de pont à l'entrée de Trévoux, s'élèvent, place du Pont, deux petits pavillons carrés symétriques, à décor mauresque, qui abritent les bureaux de péage. En 1889, racheté par les départements de l'Ain et du Rhône, le pont est affranchi. Au cours de ce siècle, il perd ses pavillons d'entrée et, malgré d'importantes réparations, notamment le remplacement des câbles après la guerre, il devient insuffisant. Un nouveau pont, établi à l'aval, est ouvert en 1976, et à partir de septembre 1978, la circulation est interdite sur le pont suspendu, qui, grâce à l'opposition des habitants, échappe de peu à la démolition. En 1982, son tablier en bois est démonté et les câbles déposés. Selon sa promesse, la municipalité rétablit en 1985 (ou 1986) un tablier et un parapet métalliques à usage piétonnier
source texte : http://www.actuacity.com/trevoux_01600/monuments/
Hôtel Beauséjour construit en 1708 pour Louis Aubert avocat général en 1691
Palais du Parlement des Dombes, construit entre 1697 et 1703
Kiosque à musique hexagonal, construit en 1910-1911
Hôtel de Ville construite entre 1890-1891 par l'architecte Marie-André Bellemain
Hôtel de Fontbleins
Construit dans la première moitié du XVIIIè siècle par Balthazar Murgier de Fontbleins
Hôtel Pierre et Anne de Bourbon
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