Les armes de la famille Richard (d'azur au chevron d'or accompagné de 3 croissants d'argent)sur le manteau de la cheminée de la cuisine attestent leur présence.
Vers 1760 Maritz a fait faire des transformations importantes.
C'est en 1810 que la famille Baboin dont les propriétaires actuels sont les descendants, acquiert le château. La famille Baboin est une ancienne famille de la région lyonnaise, qui posséda de très importantes fabriques de soie entre le XVIIe et le XXe siècle. Ils possédèrent également des affaires dans le milieu de la banque, d'abord à titre accessoire sous l'ancien régime, mais surtout lors de l'émigration de Romain et de Florent en Autriche pendant la révolution française.
Dès la première Restauration, Romain Baboin reçut de Louis XVIII le titre de Baron de la Barollière par lettres patentes, le 20 juin 1814, en remerciement de services rendus durant l'émigration. Il fut également décoré du Lys d'Argent, et fait Receveur Général des Finances. Son fils Romain-Joseph n'ayant pas d'enfants, le château se transmettra à la descendance de Romain Baboin de la Barollière par sa fille ainée Sophie.
Des travaux sont effectués au XVIIe siècle, les arcades de la cour intérieure et le puits situé à son centre et le portail d'entrée à bossages décoré de mufles de lions.
Les fenêtres, les balcons et les garde-corps en fer forgé marqués d'un M (du nom de Maritz le propriétaire) datent des alentours de 1760. Les salons d'apparat ont été réaménagés entre 1770 et 1780, et ornés de décors variés, peintures en trompe l'œil, gypseries, boiseries.
source texte : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_la_Barollière
Du début du XVIIème siècle datent le portail d'entrée à bossages, décoré de mufles de lions, les arcades qui bordent la cour intérieure au Sud et à l'Ouest, de même que le puits qui orne le centre de cette cour. Maritz a fait faire des transformations importantes vers 1760, comme en témoignent les fenêtres, les balcons et les garde-corps en fer forgé marqués d'un M. Le décor des salons d'apparat, aménagés entre 1770 et 1780, est varié : boiseries Louis XVI, gypseries, peintures sur toile et en trompe-l'oeil inspirées d'oeuvres d'artistes connus, tels que Bouchardon, Boucher, Stella, et des peintres hollandais.
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