Le pont suspendu est construit de part et d'autre de Île Barbe par Marc Seguin (de surcroît un lyonnais du quartier d'Ainay). L'ancien pont appelé autrefois le pont Cotton (attesté au XVII ème siècle) ne traversait que le bras côté Saint-Rambert en prolongement de la rue du Pont Cotton.
C'est le plus ancien de Lyon encore en service. Il est suivi par la passerelle Masaryk (1831) et par la passerelle saint-Vincent (1832).
source texte : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ponts_de_Lyon
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Ce pont suspendu, financé par les par les riverains est ouvert au public le 17 mai 1831. Il est constitué de deux travées retenues par des haubans fixés à trois piles en pierre de Couzon, d'ouverture égale de 85,25 m, les câbles plusieurs fois renouvelés, supportent un tablier de 6,50 m de large, dont deux trottoirs d'1 m. Limité à 2,5 t, il supporte sans problème la circulation des voitures.
il s'appelait à l'origine pont de Vaise (attesté en 1838) ou pont de la gare de Vaise (attesté en1842) en référence à la gare d'eau en service dans ce quartier de 1830 à 1974. Son nom actuel lui a été attribué le 1er janvier 1931 en l'honneur de Tomas Masaryk (1854-1937), fondateur de la république tchécoslovaque et ami d'Édouard Herriot.
De construction presque identique que le pont de l'île-barbe, il fut édifié très peu de temps après lui et avec la même technique de construction. Son utilité était liée à la présence un peu en amont, sur la rive droite, de la gare d'eau créée en 1827 pour les besoins de la navigation fluviale et qui ne sera comblée qu'en 1966 par les remblais du tunnel de Fourvière.
La pile centrale posa quelques problèmes de fondations car elle est basée sur des pieux en bois protégés par des enrochements que l'on doit périodiquement renforcer, mais elle a résisté depuis à toutes les crues et même aux artificiers allemands en 1944.
Sa silhouette élégante n'a pas changé de physionomie depuis l'origine et c'est ainsi la plus ancienne de toutes les piles de pont de la ville. Elle est aussi un des éléments patrimoniaux de cette partie de la ville qui marque l'entrée du coeur urbain de Lyon.
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Un premier pont semble avoir été établi en1638 à cet emplacement. constitué de dix arches, il est détruit en 1778 du fait de son délabrement avancé. Il est remplacé en 1780 par un pont constitué d'une chaîne de douze bateaux, dont deux mobiles. Nommé couramment pont volant, appelé aussi pont de bois ou pont des célestins. Ce pont-volant est emportée en partie par la fonte des glaces le 18 janvier 1789, puis totalement pendant l'hiver 1795.
Il est remplacée en 1797 par un pont de bois construit à l'initiative de Guillaume Niogret, ce pont garde l'appellation de pont volant, mais il est également nommé le pont Neuf. Il est endommagé par les retombées d'un feu d'artifice en 1820, puis par les crues de 1824. Il est finalement détruit en 1833 et fait place à une passerelle construite par la Compagnie Séguin en 1833-1834 pour desservir le Palais de justice. L'arche centrale, d'une portée de 90m, est détruite par les crues de 1840. Le pont reconstruit en 1844, est composé de deux piles ancrées à proximité des berges sur lesquelles viennent s'appuyer une arche centrale de 14,70m relayée par deux travées latérales d'environ 20m. La largeur de la chaussée du nouveau pont est de 4m et celle des deux trottoirs de 1m. L'arche centrale est détruite par les forces allemandes en septembre 1944. Le pont est rouvert en janvier 1945. Le service de navigation obtient en 1968 la destruction du pont du Change et de la passerelle du Palais de justice remplacés par le pont du Maréchal Juin. En 1983, a été inaugurée une nouvelle passerelle conçue par Gilbert Lamboley. Large de 4m, sa travée de 136m est suspendue par des haubans plantés dans un mât unique ancré sur la rive gauche de la rivière.
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Appelé autrefois passerelle Saint-Georges, cet ouvrage reliant Ainay et Saint-Georges est ouvert au public le 21 octobre 1853. Il est constitué d'une travée de 87m suspendue par des haubans fixés dans des mâts ancrés dans les deux piles placées à 10m des rives. Détruite en 1944, la passerelle est reconstruite à l'identique. Le 17 mars 2003, elle est renommée passerelle Paul Couturier en l'honneur de ce prêtre, né à la Guillotière le 29 juillet 1881 et décédé le 29 mars 1953, qui contribua aux échanges interconfessionnels.
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En 1842, le pont est démoli. Il est remplacé en 1847 par un nouveau pont bâti quelques mètres en aval et plus compatible avec les exigences de le navigation fluviale. L'année suivante, il est élargi grâce à des encorbellements et passe à une largeur d'environ 14,5m. Au cours des siècles, il change plusieurs fois de nom : pont de Pierre (attesté au XII ème siècle), pont de Saône (vers 1680), pont de Nemours (nom attesté en 1844 et officiellement attribué le 15 janvier 1852), pont de la Liberté (vers 1849). Finalement cet le pont du Change, attesté dès le XI ème siècle, qui s'impose définitivement.
Trop gênant pour la navigation fluviale et ne répondant pas aux exigences de la circulation automobile, il est démoli en 1974 et remplacé par le pont Maréchal Juin construit 200m en aval afin d'être dans l'alignement de la rue Grenette. le nouveau pont dessiné par l'architecte Gilbert Lamboley est construit entre 1971 et 1973 sous la direction de l'ingénieur Merlin. Il est inauguré le 8 décembre 1973. Long de 131,80m, il est doté d'une chaussée de 14m encadrée par des trottoirs de 4m.
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