L’Église Saint Claude – Les travaux ont débuté en 1821 et ce bâtiment de style « roman » en pierre jaune fut inauguré en 1823, . Dans les années 1960, la mode étant à la sobriété, l’église fut dépouillée de ses ornements traditionnels et badigeonnée de couleur claire ; un faux plafond dissimulant les voûtes fut posé pour faciliter le chauffage.
La plus ancienne mention du village date de 984 : « Villa de Curisio ». L’étymologie, discutée, évoque sans doute le site de « gorge », en effet très caractéristique. Le « s » final appartient bien au nom, même si celui-ci s’est prononcé « Cury »au XVIIIe siècle
L’occupation humaine, attestée dès la préhistoire, est illustrée, pour l’époque romaine, par la découverte d’une tête de marbre et quelques restes d’une nécropole. Le château a commencé à être bâti au XIIIesiècle puis ont été ajoutés des étages et des tour. Jusqu'au XVIIesiècle, la seigneurie appartint à la famille d'Albon. En 1780, Jean-Louis Bœuf son nouveau propriétaire fait appel à Jean-Antoine Moran pour sa réfection.
Le village a été longtemps une communauté paysanne vivant de la polyculture familiale et d'un maigre bétail ; toutefois quelques nobles lyonnais y possèdent des «granges» (fermes) et de grosses maisons.
À partir du XVIe siècle, les Curissois se convertissent à la culture de la vigne jusqu’à la fin du XIXe siècle. Ce vin, ainsi que les pierres dorée des carrières et les fromages de chèvre étaient portés à Lyon, notamment par le petit port de Pontet, sur la Saône. En 1791, le territoire est érigé en commune par distraction de Saint-Germain-au-mont-d’Or.
À la fin du XIXe siècle, l’activité agricole a décliné, le phylloxéra a ravagé les vignes et l’exploitation des carrières s’est arrêtée dans les années 1950. En 1955, « Curis » change de
nom et devient « Curis-au-Mont- d'Or ».
L’occupation humaine, attestée dès la préhistoire, est illustrée, pour l’époque romaine, par la découverte d’une tête de marbre et quelques restes d’une nécropole. Le château a commencé à être bâti au XIIIesiècle puis ont été ajoutés des étages et des tour. Jusqu'au XVIIesiècle, la seigneurie appartint à la famille d'Albon. En 1780, Jean-Louis Bœuf son nouveau propriétaire fait appel à Jean-Antoine Moran pour sa réfection.
Le village a été longtemps une communauté paysanne vivant de la polyculture familiale et d'un maigre bétail ; toutefois quelques nobles lyonnais y possèdent des «granges» (fermes) et de grosses maisons.
À partir du XVIe siècle, les Curissois se convertissent à la culture de la vigne jusqu’à la fin du XIXe siècle. Ce vin, ainsi que les pierres dorée des carrières et les fromages de chèvre étaient portés à Lyon, notamment par le petit port de Pontet, sur la Saône. En 1791, le territoire est érigé en commune par distraction de Saint-Germain-au-mont-d’Or.
À la fin du XIXe siècle, l’activité agricole a décliné, le phylloxéra a ravagé les vignes et l’exploitation des carrières s’est arrêtée dans les années 1950. En 1955, « Curis » change de
nom et devient « Curis-au-Mont- d'Or ».
source texte: http://fr.wikipedia.org/wiki/Curis-au-Mont-d'Or
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